mars 27, 2023

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Les assureurs pourraient désormais devoir payer la facture des prestations sociales pendant que les demandeurs pour blessures corporelles sont sans travail si les cas sont réglés

Le juge de la Cour suprême a déclaré que l’affirmation de la ministre de la Protection sociale selon laquelle elle n’accepte pas les « ordonnances de règlement par consentement » sont des ordonnances judiciaires qui pourraient annoncer la fin d’une pratique coûteuse où le contribuable soutient largement les règlements de dommages personnels.

Le juge Michael Tommy a déclaré que le contribuable payait depuis des années ce qui est essentiellement des « dépenses professionnelles » des assureurs dans des affaires de lésions corporelles où une « ordonnance de règlement par consentement » est accordée par le tribunal.

La ministre a assuré au tribunal qu’elle n’acceptait pas qu’une telle ordonnance exonère la compagnie d’assurances de son obligation de rembourser au contribuable les prestations sociales versées au demandeur.

Le juge a noté que la mesure avait été critiquée par un autre juge et la Commission de réforme du droit, qui a décrit en termes clairs qu’elle était « erronée ».

Or, c’est ce qui s’est produit « au quotidien » lorsqu’une ordonnance de règlement par consentement, émise par un tribunal lors du règlement d’une affaire de lésions corporelles, est utilisée par un assureur pour prétendre qu’il n’est pas légalement tenu de rembourser l’État pour le montant qu’il a versé au demandeur en prestations sociales, sur la limite en disant.

Le juge a déclaré que les prestations de maladie, d’invalidité ou d’autres prestations sociales pourraient être récupérées par l’État auprès d’une compagnie d’assurance qui, en choisissant de ne pas contester une réclamation, pourrait, en termes généraux, accepter la responsabilité d’avoir causé les blessures, a déclaré le juge.

La « clause de consentement » permet à l’assureur de réclamer une « ordonnance du tribunal » selon laquelle l’assureur n’était responsable de l’accident que dans la mesure convenue entre lui et le demandeur. Sur cette base, elle n’aurait qu’à rembourser aux deniers publics le pourcentage qu’elle a accepté en responsabilité en vertu du règlement.

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Le juge a attendu l’avis du ministre de la Protection sociale avant de refuser de rendre cette ordonnance de consentement dans le cas d’un homme qui avait poursuivi pour des blessures présumées qu’il aurait subies lors du changement de pneu d’un véhicule agricole.

Le procès a été réglé avec le magasin de pneus et sa compagnie d’assurance.

Le ministère de la Protection sociale lui a versé 90 000 € de prestations d’invalidité alors qu’il était au chômage. L’assureur a d’abord demandé une ordonnance d’approbation basée sur un partage de responsabilité 50/50, ce qui signifiait que l’assureur verserait 45 000 € à la direction.

Lorsque le juge a dit qu’il avait l’intention de refuser d’entrer cette ordonnance, l’assureur a demandé s’il pouvait retourner devant le tribunal si le ministre acceptait l’ordonnance de responsabilité 50/50.

Dans une décision supplémentaire publiée vendredi, M. Tomey a déclaré que les assureurs avaient fait valoir qu’une ordonnance par consentement résultant d’un accord de responsabilité avait le même statut qu’un tribunal rendant une décision de responsabilité après avoir entendu toutes les preuves.

Bien qu’il n’ait pas été utilisé dans cette affaire, le juge a noté qu’un mécanisme similaire est utilisé lorsqu’une référence convenue à « aucune réclamation pour perte de revenu » est incluse dans l’ordonnance de consentement si un demandeur paie l’assistance chômage de l’État.

M. Tomey a déclaré que la ministre avait maintenant confirmé qu’elle était d’accord avec son interprétation selon laquelle une « ordonnance de règlement par consentement » n’est pas une « ordonnance du tribunal » aux fins d’une section de la loi de 2005 sur la consolidation de la protection sociale.

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Le ministre n’a pas accepté d’inclure un partage des responsabilités 50/50 dans le cas de l’atelier de pneumatiques.

Le juge a annulé la procédure sans inclure le partage de responsabilité demandé par le demandeur et la compagnie d’assurance.

Le juge a déclaré que le manque à gagner auquel le contribuable est confronté est important si l’on considère environ 15 000 cas de blessures corporelles déposés en 2021 seulement. Il a noté que 97% de ces procédures ont été réglées.

Il a ajouté que l’affaire illustrait le rôle important joué par la Law Reform Commission et l’Irish Judicial Studies Journal pour attirer l’attention du pouvoir judiciaire et du grand public sur des questions « d’intérêt public important ».