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Un tribunal français a statué que les entreprises ne peuvent pas licencier un employé simplement pour avoir refusé de participer à des activités sociales telles que des boissons après le travail ou des activités de team building.
L’affaire portait sur le licenciement d’un individu identifié comme M. T, qui avait travaillé comme administrateur et employé pendant quatre ans au sein du cabinet de conseil Cubik Partners. L’entreprise, qui promeut une culture qui dit « vous devriez vous amuser pendant que vous travaillez », a licencié M. T en 2015 pour ne pas avoir fait plus pour l’adopter. Culture d’entreprise « fun ».
Olivier Cournot, co-fondateur de Cubik Partners, a déclaré à CBS MoneyWatch que l’employé avait été licencié « pour des raisons purement professionnelles » et pour s’être abstenu de « la soi-disant culture de l’apéritif ».
Au lieu de cela, la société a affirmé que M. T l’avait Ton « décourageant » et refus d’écouter à ses collègues, surtout lorsqu’ils ont des points de vue différents, selon le New York Post.
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Un tribunal français a décidé que les employés ne peuvent pas être licenciés pour avoir refusé de participer à des activités sociales, y compris des boissons après le travail. (Photo de Riccardo Funari/Images du Brésil/LightRocket via Getty Images/Getty Images)
Cependant, M. TV a fait valoir que sa définition du plaisir différait de celle de l’entreprise et que ce que l’entreprise considérait comme « agréable », il le considérait comme une violation du « droit fondamental à la dignité et Respecter sa vie privéeSelon le dossier du tribunal.
Une vue générale d’un palais de justice, le Palais des Justicees en français, un bâtiment historique situé sur la place Mentheon dans le 6ème arrondissement de Marseille, France, le 22 novembre 2022. (Photo de Gérard Botino/SOPA Images/LightRocket via Getty Images/Getty Images)
M. T a sauté des séminaires et des week-ends à cause des « pratiques d’entreprise préconisées par des collègues qui associent la promiscuité à l’intimidation et à l’incitation à diverses transgressions ». Ces pratiques comprenaient Surnoms grossiers du personnel, « faux actes sexuels », obligation de partager la famille pendant les séminaires et de poster des photos déformées ou maquillées dans le bureau.
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L’entreprise a accusé l’employé d’être « carré et ennuyeux », difficile à travailler et peu à l’écoute, selon les analystes du recrutement de l’industrie.
Portrait d’un groupe de collègues ayant une occasion heureuse et faisant la fête ensemble dans leur bureau (Stock)
L’affaire a traîné pendant sept ans, mais les tribunaux ont finalement pris le parti de M. T, déclarant le mois dernier que l’entreprise avait porté atteinte à une « liberté fondamentale garantie par la Constitution » de la liberté d’expression.
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Le tribunal a convenu avec M. T que les politiques de l’entreprise constituaient des « pratiques intrusives » et que l’entreprise ne pouvait que critiquer son comportement, et non le dissocier de ses décisions.
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Québec Partners a fait appel de la décision de justice selon laquelle Monsieur T devait percevoir une indemnité de plus de 40 000 € en heures supplémentaires et rappels avec arrêt de travail.
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