juin 9, 2023

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Un employé d’une coopérative de crédit affirme qu’il a été illégalement placé en suspension « à durée indéterminée »

Le chef du service juridique de Co Wexford Credit Union a interjeté appel auprès de la Haute Cour contre ce qu’il prétend être sa suspension continue.

La plainte a été déposée par Donal O’Connor, qui affirme qu’en novembre dernier, il a été placé en « congé administratif » parce qu’il a déposé une plainte pour divulgation protégée concernant certaines pratiques présumées à l’Altura Credit Union de Gorey, Co Wexford.

L’homme de 55 ans, qui a travaillé pour la coopérative de crédit pendant plusieurs années, affirme que c’était illégal et qu’il a violé son contrat de travail et a été suspendu pour une durée indéterminée suite à des allégations selon lesquelles il aurait enfreint la politique informatique de son employeur.

Ces allégations font actuellement l’objet d’une enquête en cours.

Dans une déclaration sous serment à la Cour suprême jeudi, M. O’Connor a nié tout acte répréhensible et a déclaré que les allégations avaient été faites après avoir fait une divulgation protégée sur certaines questions au sein de la coopérative de crédit en septembre 2022.

M. O’Connor prétend que la divulgation protégée et la plainte qu’il a déposées sont la « vraie raison » de sa suspension.

Il prétend avoir soulevé de sérieuses inquiétudes concernant les risques opérationnels et les contrôles de la coopérative de crédit.

En particulier, il est à craindre que l’obligation de s’assurer de l’existence d’une assurance avant que les fonds ne soient versés aux clients ne soit ignorée.

Il affirme que le défendeur n’a fait aucun effort pour répondre correctement à ses préoccupations et affirme en outre que sa santé en a été endommagée.

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En novembre dernier, il a affirmé que la coopérative de crédit l’avait placé en congé administratif sur des allégations, notamment qu’il avait stocké des e-mails non professionnels sur son ordinateur de travail, utilisé des e-mails non professionnels pour des documents de travail et effectué des travaux en dehors des locaux du travail.

Il nie tout acte répréhensible et affirme que certaines des plaintes remontent à une période où il travaillait à temps partiel avec le défendeur et que toute action extérieure qu’il a effectuée pendant cette période était en pleine connaissance de la caisse populaire.

Suite à la décision de la coopérative de crédit de le placer en congé administratif, la santé de M. O’Connor aurait été endommagée et il a demandé un congé de maladie où il a été certifié pour reprendre le travail à partir de fin avril.

Malgré cela, M. O’Connor, un avocat qualifié, prétend qu’il n’a pas été autorisé à retourner au travail et qu’il a effectivement été suspendu par lui.

Il affirme que son commentaire continu a porté atteinte à sa réputation.

En conséquence, M. O’Connor, par une adresse à The Avenue, Gorey, Co Wexford, cherche à obtenir une injonction du tribunal empêchant le défendeur de continuer à être exclu du lieu de travail et à mettre fin à sa suspension.

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Il sollicite également diverses déclarations du tribunal, notamment que sa suspension est illégale et en violation de son contrat de travail.

Il demande également des dommages-intérêts au défendeur pour son angoisse émotionnelle. L’affaire a été portée devant le juge Brian O’Mur jeudi.

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L’avocat d’O’Connor, le juge a accordé l’autorisation, sur une base ex parte, de signifier un court préavis d’injonction à la coopérative de crédit défenderesse.

Le juge a reporté la demande à une date ultérieure ce mois-ci.