Alors que l’Union européenne s’oriente vers le lancement de Markets in Crypto Assets (MiCA), les régulateurs français Il pense Fournit aux fournisseurs de services d’actifs numériques dans le pays une option « accélérée » pour se conformer à la réglementation.
En début de semaine, l’Autorité des marchés financiers (AMF) s’est félicitée de la récente approbation du MiCA tout en notant qu’elle prendrait plusieurs mesures pour se préparer à l’entrée en vigueur de la nouvelle loi. Le régulateur a déclaré que plusieurs modifications de la réglementation française pour les fournisseurs de services d’actifs numériques (PSAN) seront annoncées au cours des 18 prochains mois.
Afin d’aligner les réglementations locales sur la MiCA, l’AMF indique qu’elle fixera une prime sur la fourniture du capital de licence PSAN et des détails sur la politique de rétention des actifs numériques. D’autres domaines nécessitant une harmonisation comprennent la clarification des domaines d’intérêt énoncés dans le PSAN et l’approbation et l’harmonisation des documents aux termes de la MiCA.
La date d’entrée en vigueur de MiCA étant fixée à janvier 2025, l’AMF annonce qu’elle collabore avec l’Autorité bancaire européenne (ABE) et l’Autorité européenne des marchés financiers (ESMA) pour publier des textes qui contribueront à la mise en œuvre de certaines dispositions du règlement .
L’AMF travaille activement à la rédaction de ces scripts afin que les joueurs puissent obtenir au plus vite ces normes techniques. En concertation avec l’ACPR, l’AMF travaille déjà avec les acteurs et les associations professionnelles pour accompagner la transition du cadre français vers le cadre européen.
Actuellement, les fournisseurs de services d’actifs numériques en France peuvent être enregistrés auprès de l’AMF selon deux options de licence – une option simple et une option renforcée. Les exigences d’enregistrement dans le cadre de l’option améliorée semblent être similaires aux normes énoncées dans la MiCA, avec une attention particulière aux dispositions de lutte contre le blanchiment d’argent.
Toujours attaché à des règles plus strictes
Les autorités françaises sont depuis longtemps au milieu d’appels à une réglementation plus stricte sur les crypto-monnaies. Le gouverneur de la Banque de France, François Villeroi de Gallau, a souligné l’implosion en 2022 qui a secoué l’industrie comme preuve que des règles plus strictes étaient nécessaires pour la classe d’actifs.
« Toute la tourmente de 2022 alimente une conviction simple : il est souhaitable que la France passe le plus tôt possible à une licence DASP (Digital Asset Service Provider) obligatoire, plutôt qu’à un simple enregistrement », a déclaré Villeroy de Galhau.
Jusqu’à présent, les autorités ont adhéré à une règle de voyage émise par le Groupe d’action financière (GAFI) qui oblige les sociétés de crypto-monnaie à divulguer les détails des transactions supérieures à 1 000 dollars.
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