Un associé dans un cabinet comptable – qui possède également 14 immeubles locatifs ici – a perdu sa bataille fiscale de 1,584 million d’euros avec les commissaires aux recettes.
Cela fait suite à la conclusion de la commission des recours fiscaux (TAC) selon laquelle il est responsable de l’avis d’imposition de 1,584 million d’euros qui lui a été émis par les commissaires aux impôts pour une période de trois ans.
Dans ses conclusions, la commissaire, Claire O’Driscoll, a constaté que les déclarations de revenus d’autocotisation du comptable pour 2011, 2012 et 2013 « étaient incorrectes et contenaient des montants qui représentaient une réduction significative des bénéfices ou des gains » qui seraient perçues aux fins d’imposition au cours de ces années.
Mme O’Driscoll a conclu que l’appelant n’avait pas réussi à établir que la taxe pertinente n’était pas due.
L’associé du cabinet comptable a perçu 2,72 millions d’euros de revenus du cabinet sur les trois années, dont 845 152 euros en 2011, 1,11 million d’euros en 2012 et 761 963 euros en 2013.
Le travail du comptable couvre les domaines de la préparation des comptes, de la comptabilité, des déclarations de revenus, de l’obtention de prêts pour les clients et de la préparation des plans d’affaires, et son revenu de 2,72 millions d’euros de la société comprenait un bénéfice de 1,86 million d’euros provenant de la pratique.
Le comptable est propriétaire de 14 propriétés en Irlande et a perçu un revenu locatif net de 313 380 € sur les trois années, et son revenu total pour les trois années était de 3,17 millions d’euros.
Dans son rapport d’auto-évaluation du formulaire 11 pour les trois années, il a indiqué que sa charge fiscale cumulée était de 219 085 € dont 19 476 € en 2011 ; 134 298 euros en 2012 et 65 311 euros en 2013.
Les commissaires aux impôts ont contesté cela et, dans leurs évaluations révisées remises au comptable, ont déclaré que la dette fiscale correcte pour 2011 devrait être de 374 555 €, 744 522 € pour 2012 et 655 125 € pour 2013.
Le comptable a fait appel des évaluations de revenus auprès du TAC et le plus gros chiffre de revenu unique en litige entre le comptable et les revenus est de 457 923 € crédité sur son compte en 2013.
Le comptable a affirmé que le montant de 457 923 € était un prêt et qu’il avait remboursé le prêt en transférant de l’argent à une société hôtelière et en l’investissant dans une entreprise de rénovation domiciliaire.
Cependant, après avoir entendu deux jours de preuves et d’observations en appel, Mme O’Driscoll a conclu que le comptable n’avait produit aucune preuve documentée pour étayer ces allégations de remboursement.
Mme O’Driscoll a constaté que le comptable n’avait pas autorisé la charge de la preuve pour prouver que 457 923 € était un prêt et a déterminé que 457 923 € était un gain ou un gain.
Il n’y avait aucune question de droit fiscal entre le comptable et le revenu dans les appels et le différend entre les parties était fondé sur la détermination du montant exact des revenus que le comptable avait perçus et des divers abattements fiscaux qu’il réclamait.
Revenue a déclaré au TAC que l’appelant n’avait fourni aucun document tendant à étayer l’un des domaines de revenus ou de dépenses contestés.
Irlande
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Le comptable réclamait le remboursement de dépenses s’élevant à 102 491 € par an liées au paiement des intérêts d’emprunt sur sa facture de taxe foncière irlandaise en 2011, 2012 et 2013.
Dans ses conclusions, Mme O’Driscoll a déclaré que l’appelant n’a pas fait de relevés de prêt concernant les intérêts qu’il prétend avoir payés sur neuf des 14 propriétés irlandaises et qu’il n’a donc droit qu’à des paiements d’intérêts de prêt non spécifiés de 18 255 €. par an pendant trois ans.
Le comptable réclamait également une facture cumulée de réparation et d’entretien de 150 702 € sur ses propriétés sur les trois ans, qui comprenait l’emploi de deux personnes pour superviser 14 propriétés.
Cependant, Mme O’Driscoll a décidé que le comptable n’avait droit à aucune indemnité au titre des réparations et de l’entretien après avoir constaté que l’appelant n’avait produit aucune autre preuve documentée en rapport avec l’emploi des deux ou une correspondance par courrier électronique à destination ou en provenance du personnel de en rapport avec les travaux commandés sur les propriétés.
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